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Le jiu-jitsu brésilien.CoCommunému d’élesu brésilien est un art martial moderne qui puise sa quintessence dans la technique, le o

Est un art martial brésilien dérivé de techniques de Judo et de Jiu-Jitsu importées du Japon au Brésil par Mitsuyo Maéda vers 1920, puis développé par la famille Gracie.

C'est un art martial jeune et en permanente évolution.

Bien que peu médiatisé en Europe, il est réputé au Brésil, aux États-Unis et au Japon.

 

Aujourd’hui, de nombreux pays pratiquent le Jiu-Jitsu plus souvent appelé JJB ou BJJ (Brazilian Jiu Jitsu). Un système de grades et de ceintures permet d’évaluer le niveau de chacun.

 

Le jiu-jitsu brésilien est une lutte en prédominance au sol se pratiquant traditionnellement avec un keikogi (souvent improprement appelé kimono).

Chaque technique de finalisation se termine soit par un étranglements soit par une clef articulaire (nuque, épaule, coude, poignet, hanche, genou, cheville), ou une compression musculaire (mollet, biceps,..) les techniques plus complexes sont réservées aux plus gradés ceinture marron noire.

 

Le jiu-jitsu brésilien, comme beaucoup d’arts martiaux,compte assez peu sur la force. Les grands champions étaient généralement petits et beaucoup moins lourds que leurs adversaires,

 

Le jiu-jitsu Brésilin peut être pratiquée par tout les publiques femmes, enfants adoslencants adultes vétérants,le jiu-jitsu Brésilin est même pratiquer par des pratiquants d'un âge avancé jusqu'a 60 ans que l'on retrouvent lors de compétions internationnal.

 

Communément surnommé: l'art hultime au visage humain, ou encore le jeu d'échec humian.

 

C’est un sport qui est souvent associé au jeu d’échecs. En effet, sa pratique demande une grande réflexion et les combinaisons possibles (techniques de jjb) sont au moins aussi nombreuses que celles des échecs.

 

le jiu-jitsu Brésilin se pratique sans frappe aux entraînements comme en compétition.

Seuls les puristes de la discipline conservent l’enseignement des techniques de self défense en vue des passages de grades.

 

Cet art martial compte plutôt sur cinq qualités majeures : l’équilibre, la coordination, la maîtrise de la distance, le timing et la précision. D’autres qualités entrent en ligne de compte mais ces cinq sont la fondation nécessaire pour devenir un grand combattant avec cette technique.


 


 


 

L’équilibre est la capacité de contrôler et de manipuler son équilibre pendant une période de temps assez longue. Conserver son équilibre nécessite de garder le poids centré entre les genoux et la tête centrée au-dessus des hanches et des genoux. La perte d’équilibre doit être un choix conscient dans une stratégie, faute de quoi elle peut causer la défaite. Cet attribut est souvent négligé car considéré comme allant de soi. Ce qui est une erreur grossière car l’équilibre doit être amélioré et faire l’objet d’un entraînement spécifique.

La coordination est la capacité de réaliser des mouvements de la même manière des deux côtés du corps. Chaque individu a un côté favori mais il est nécessaire d’apprendre à utiliser chaque technique majeure des deux côtés du corps. Faute de quoi, cette faiblesse aisément identifiable indiquera à l’adversaire comment et où attaquer.

La maîtrise des distances est la capacité à maintenir la bonne distance au bon moment. Comme pour l’équilibre, la plupart des étudiants pensent comprendre ce concept de manière naturelle. Cependant, il faut maîtriser les postures et les mouvements des hanches, des épaules et de la tête avant de pouvoir contrôler l’aspect spatial des combats.

Le timing est la capacité à faire la bonne technique au bon moment. C’est certainement l’attribut le plus important. Associé à une grande vigilance, il permet de vaincre en minimisant la dépense énergétique, ce qui est extrêmement important en tournoi. Il faut savoir utiliser la moindre fenêtre d’opportunité de manière optimale car un adversaire expérimenté offre peu de possibilités d’attaque.

La précision est la capacité de placer son corps dans la position exacte de levier pour la technique employée. La différence entre le succès et l’échec d’une technique est souvent une question de centimètres. En prenant la bonne position, la technique peut être utilisée de manière optimale."

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